Tant qu'il y a de l'indie, il y a de l'espoir.
RockMinutSoup du 21 février: (Es)poires pour la soif
Gwendoline chante le commencement de la fin, le monde passe en code orange.
Tant qu'il y a de l'indie, il y a de l'espoir. Celui du proto-tourisme à Leeds, London et Glasgow avec Yard Act , DITZ, Silverbacks ou Famous (Ils seront aux Nuits Botanique), un #verybadtrip dans les misères de nos milléniaux avec la série Euphoria (Labrinth &Jonathan Richman pleurent dans les églises et le #lesbianbar).
Espoir de faire une calino-thérapie avec Macie Stewart ( qui nous console du dernier EP 'planté' de Big Thief).Espoirs concrétisés avec Eric Chenaux ou Mess Esque.
Espoir de renouer avec un tricycle flamand en dehors des digues avec Jan Verstraeten ou Ari Roar. Faux (?) espoirs avec Sonic Youth et Kim Gordon.
Espoir de régénérescence avec Andy Bell, Arlt , The Nits et Rob Crow (Plosivs) et, enfin espoir de te la décoiffer sévère avec Abdullah Miniawy, Iceboy Violet